[hot] You + Me = <3 [ ft: Alec ]

La veille les filles étaient passées nous voir avec Alec. Cela ne prit que quelque minutes et le chaos était déjà au rendez vous.  Nous avions espérer passer une soirée tranquille à regarder la télé, pour moi, et chouchouter un arc, pour Alec. J’aimais beaucoup Clara, mais la veille elle avait bien merdé. Elle avait dévoilé le grand secret d’Alec. Selon les filles, mon ami était amoureux de moi. Si au départ je n’avais pas voulut les croire force m’était d’admettre qu’elles avaient raison. Alec était finalement partie pour s’enfermer dans la salle d’arme. Je lui avais rejoins pour l’embrasser. Pour moi sa avais été tout simplement une révélation. J’aimais mon meilleur ami, mais je ne pouvais pas le lui dire autrement. Pour ma part, agir était la meilleure solution.

La soirée c’était ensuite poursuivit et nous nous étions coucher très tard. Nous n’avions pas réussit à en reparler de ce baiser avec Alec. J’espérais que sa pourrais se faire le jour même. Je me levais tôt incapable de me rendormir. J’avais mis mes écouteurs et je me mis à faire des crêpes. Sa ne serait pas aussi bon que si c’était Alec qui les aurais cuisiné, mais j’en avais vraiment envie et je ne voulais pas attendre qu’il se lève pour en avoir. La musique était tellement forte dans mes oreilles que je ne pouvais même pas m’entendre penser et c’était le résultat voulut.

La nuit dernière avait été plutôt agitée, plus que prévu. En fait, au programme, il y avait juste la télévision pour Jace et son arc pour Alec. De la détente en somme, pour une fois qu'ils n'avaient rien de prévu, ils allaient juste passer leur soirée ensemble dans l'appartement, une perspective qu'Alec avait vraiment adorée puisqu'en général, ils finissaient par partir en éclat de rire sur une quelconque histoire, un souvenir, mais finalement Clara et Paolina avaient débarqué à la surprise des deux chasseurs. Si en soit il n'y avait rien de bien dramatique, la tension était vite montée entre la sorcière et le blondinet, comme à chaque fois, mais l'élément perturbateur de la soirée fut Clara et sa langue bien pendue.

En effet, elle avait cru bon de déballer le secret d'Alec, comme si c'était la chose la plus puérile du monde. Cela aurait sans doute été le cas si le shadowhunter était un simple terrestre, mais pas de bol, ce n'était pas la même histoire. Quoi qu'il en soit, tout cela avait très vite mal tourné, Alec s'était énervé, avait menacé Clara et était parti s'enfermer avec son arc dans la salle d'armes dans l'espoir d'être enfin un peu tranquille. Malheureusement, ou heureusement, têtue comme il l'était Jace était venue le rejoindre et avant même qu'Alec ne réagisse, il s'était retrouvé à l'embrasser. Au début, Alec avait juste gros à une grosse blague, un sort jeté par Paolina peut être. C'était un peu comme un espoir éveillé, il avait était surpris, choqué. C'était une réaction à laquelle il ne ce n'était absolument pas attendu. Il avait fait beaucoup de scénario dans sa tête, mais jamais il n'aurait cru que celui-ci aurait pu être possible un jour.

Bien entendu, il ne va pas s'en plaindre ! il avait attendu cela depuis presque neuf ans maintenant ! C'était un peu comme si le bon Dieu avait enfin fini par se pencher sur lui, mais il ne savait toujours pas quoi pensait de tout cela. Ils n'avaient pas vraiment eu le temps d'en parler, les filles étaient parties tard et les deux chasseurs étaient exténués. Allonger sur son lit, fixant son plafond, le jeune McCoy ne cessait de se repasser la scène dans sa tête. La façon brutale, passionnée, avec laquelle Jace l'avait embrassé, et la manière plus ou moins maladroite mais tout aussi intense qu'Alec le lui avait rendu. Mais qu'allait-il se passer maintenant ? Allaient ils faire semblant ? Ou bien mettre tout cela de côté ? Parfois, le jeune chasseur maudissait le fait d'être au service de l'enclave.

Après une bonne heure a réfléchi, il décida de sortir de son lit, attrapa son portable et sortit de sa chambre. Un vague regard sur sa gauche, il remarqua la porte de la chambre de Jace ouverte et le lit vide. En tendant l'oreille, il perçut du bruit venant de la cuisine alors il suivit la source et trouva le blondinet en train de faire la cuisine. Il haussa les sourcils un instant, avant que son téléphone ne se mette à sonner. Jeta un regard à l'appareil, il sent sa gorge se serrant en voyant le nom entrant. Mary McCoy, la mère d'Alec, tentait de joindre son fils. Avait-elle appris quoi que ce soit ? Il leva un instant son regard vers son colocataire, avant de décrocher. On ne faisait pas attendre la matriarche des McCoy.

-Allô, maman ?

La tension animée chaque terminaison nerveuse du corps du chasseur, la peur faisait battre son cœur à cent à l'heure en attendant de savoir la raison de cet appel. Madame McCoy ne téléphonait jamais simplement pour prendre des nouvelles de son fils, leurs relations n'étaient pas ainsi, il y avait toujours un but précis. Mais très vite, le jeune homme ferma les yeux l'espace d'un instant, rassuré sur le pourquoi de cet appel. Elle voulait simplement certains détails au sujet de l'affaire des vampires qu'ils avaient traitée une poignée de jours plus tôt, afin de les faire parvenir à l'enclave pour qu'ils s'arrangent de cette histoire sur les terrestres, en particulier la police.

-Non, non, on a donné la localisation du lieu à Hodge pour qu'il puisse récupérer les biens qui était resté dans le hangar. Ils ont dû arriver au poste de police ce matin.

Après quelques différentes consigne et de vague félicitation pour son travail, Maryse lui demanda si elle pouvait parler à Jace. Sa mère connaissait bien en effet le blondinet, comment pouvait il en être autrement ? Il était aussi un Shadowhunter, l'un des meilleurs de leur génération et partageait la vie de son fils depuis presque dix ans. C'était presque comme un second fils pour elle. Alors, il fit le tour de la table et posa sa main sur l'épaule de Jace, fixant son regard l'espace d'un instant, avant de lui tendre son téléphone.

-Ma mère voudrais te parler.

Je préparais le déjeuner, plus parce que j’avais faim que part envie. Je ne voulais pas attendre le réveille d’Alec pour finalement manger. J’avais donc enfilé mes écouteurs pour écouter de la musique en même temps. Le musique était la pour me distraire. Je ne voulais pas penser a se qu’il c’était passer la veille. Alec et moi nous nous étions embrassé. Je n’avais jamais pensé dans toute ma vie, qu’un jour j’allais poser un tel geste. J’étais plutôt content maintenant que c’était enfin passer, mais j’avais un peu peur de la réaction d’Alec. Il ne s’acceptait pas vraiment à ce que j’avais pu voir la veille. Je ne me cachais pas autant que lui, mise à part Alec je crois bien que Clara était parfaitement au courant. Elle l’avait probablement répéter à Paolina aussi.

Alors que je terminais de brasser la pâte a crêpe, une main se posa sur mon épaule. Je tournais la tête vers Alec légèrement sur mes gardes. J’enlevais mes écouteurs de mes oreilles et mon ami me tendit le téléphone. Sa mère voulait me parler. Es-ce qu’elle était déjà au courant de se qui était arrivé la veille ? Je soupirais silencieusement lorsque j’entendis sa voix joviale. Apparemment je lui manquais beaucoup et elle insistait pour manger un soir avec moi et Alec.

- Sa serait avec joie Maryse de nous joindre à toi pour un souper.

Je faisais exprès de parler ainsi. Je ne pouvais pas prendre Alec au dépourvue. La matriarche des McCoy semblât ravie. Elle me félicita pour notre succès dans la mission avec les vampires. Je pris une voir douce pour m’excuser de devoir raccrocher. Mes crêpes m’attendaient et j’avais une faim de loup. Je raccrochais quelque secondes plus tard et commença à faire cuir les crêpes. J’avais déposé le téléphone d’Alec sur le bar et je lui jetais quelque coup d’œil. Visiblement, il ne savait pas plus que moi sur quel pied danser lui non plus. Je poussais un soupire en retournant la crêpe.

- Tu sais je n’ai pas fait sa pour te blesser hier soir. J’en avais vraiment envie, depuis longtemps.

Je prends une assiette et la dépose sur le comptoir près de moi. La première crêpe était presque cuite à point. Une fois quelle fut dorée des deux coter je la mis dans l’assiette pour la tendre à Alec. J’étais peux être égocentrique comme le dirais Paolina, mais je savais ou mettre mes priorités dans la vie.

Alec n'était jamais tendu quand sa mère l'appelait. Cela n'avait rien des relations familial terrestres, mais il savait pourquoi elle l'appelait. Parfois c'était pour ce faire rappeler à l'ordre parce que lui et Jace avaient fait des missions non autorisées, mais la plupart du temps, il savait à quoi s'attendre. Mais aujourd'hui, il avait presque frôlé l'infarctus. Quoi qu'il en soit, il semblait que ce n'était qu'une question de détails et une simple conversation avec Jace. Alors, il avait donné son téléphone au blondinet, avant d'aller chercher un verre dans le placard pour le remplir de jus d'orange.

Retourna à sa place près du bar, il manqua d'avaler son jus de fruits de travers. Un souper ? Ce n'était pas un peu risqué vu la situation dans laquelle ils étaient ? Mais en même temps, le refuser reviendrait au même. Et puis, sa soeur lui manquait, il avait besoin d'elle en ce moment. En effet, Izzy avait été le premier à remarquer les penchants de son frère aîné, pourtant, loin de le refouler comme ferait le reste de la famille, il l'avait soutenue et aidée. En vérité, c'était un peu elle qui avait poussé son frère dans les bras de Magnus. Alors, il avait besoin de lui parler de sa situation.

Quoi qu'il en soit, son colocataire fini par raccrocher et retourner à ses crêpes. Durant de longues secondes, un silence de plomb régna entre les deux hommes, seulement interrompus par la cuisson de la pâte à crêpes. Il ne savait pas trop pour ou, ni comment commencer. Tout cela était encore confus dans sa tête, les questions et informations se mélangeaient. Mais, finalement, ce fut Jace qui brisa la glace et se lança le premier.

Alec releva le regard vers lui alors qu'il attrape l'assiette qu'il lui tendait, fixant ses yeux si particulier durant un long moment, avant de se décider à poser son assiette devant lui sans pour autant y toucher. Il avait tellement de questions, après tout, il n'avait jamais vu Jace ramener un garçon ici, ou même attarder son regard sur l'un d'eux. En général, Alec savait reconnaître les signes d'un homme gay ou tout du moins, bi, mais jamais avec Jace. Peut-être tout simplement parce qu'il s'était toujours dit que c'était trop beau pour être vrai. Il avait toujours pensé que ses réflexion n'étaient que des blagues, mais à présent, il se maudissait presque de ne pas y avoir cru plus tôt.

-Pourquoi ? Non, je.... Je veux dire.... Je ne t'ai jamais vu avec des hommes avant, ni même t'attarder sur l'un d'eux... Je pensais... J'ai toujours pensé que ce n'était que des blagues que tu lançais.

Il resta là, à fixer son ami, amant ? Il ne savait plus trop comment l'appeler maintenant, puisqu'en vérité, il ne savait même plus qu'elle sens avait leurs relations. Est-ce que cela allait évoluer, ou rester dans un coin ? Après tout, ils avaient quand même l'enclave qui pensait un poids dans la balance.

-As-tu... As-tu déjà eu d'autre relation auparavant ?

Alec était quand même plutôt curieux à ce sujet. Cela faisait presque neuf ans qu'ils habitaient ensemble et il n'avait jamais croisé un autre homme ici. Mais parfois il lui arrivait de rentrer au petit matin donc. Le jeune McCoy lui n'avait pas eu ce problème, car durant tout ce temps, il n'avait eu aucune relation, hors mit le léger flirt avec Joss il y a peu, sinon cela remonte à Brookly, et là encore, hors mettre le sorcier, il n'y avait eu personne.

J’étais plutôt content de savoir que la mère d’Alec était fière de nous deux. Mes parents étaient retournée a Idris depuis bientôt 5 ans et donnais très peux de nouvelle. J’avais un mail, dans mes courriel, une fois par moi et c’étais tous. J’étais content pour eux, mais c’était tout de même difficile pour moi. La famille McCoy m’avais donc prise sous son aile et je m’étais toujours sentie le bienvenue chez eux. Puis sa me rapprochais beaucoup d’Alec alors ce n’étais pas pour me déplaire.

Au vue de la réaction, Alec ne semblait pas être certain de vouloir y allez. Après ce qui était arrivé la veille, je m’en doutais un peu que ce diner le ferait réagir. J’aimais bien la sœur d’Alec, elle était un peu frivole, mais elle m’était de l’ambiance dans notre vie. Je me doutais bien que mon ami voudrait lui parler de ce qui nous était arrivé et si cela pouvais l’aider je l’encouragerais. Je mis un terme à la conversation quelque secondes plus tard. J’aimais Maryse vraiment, mais la faim d’un homme ne pouvait attendre.

J’avais finalement brisé la glace sur la soirée d’hier. Il ne semblait pas savoir ou se mettre et je le comprenais. Sa avait été comme sa aussi la première fois que je m’étais poser des questions. Je n’avais jamais montré aucun signe sur ma bisexualité à Alec. J’avais peur qu’il me rejette et je ne l’aurais pas supporté si j’avais perdu son amitié. Alors je lui avais caché cette information, comme il m’avait caché son homosexualité. Je l’avais souvent dragué, mais il avait du prendre cela pour une blague. Je souriais face à sa question mal à droite. C’était plutôt mignon de le voir se battre ainsi avec ses mots.

- C’est parce que je ne voulais pas que tu le vois, j’avais peur que tu me rejette. Je ne me retournais pas, mais je les voyais quand même. J’aurais voulut que tu crois que c’était vrai parce que ce l’était vrai.

Je ne savais pas exactement ou toute cette discutions allait nous mener. Je ne pouvais pas obliger Alec à vouloir être avec moi. Je voulais qu’il en ait envie autant que moi. J’avais préparé mes deux crêpes et alla m’assoir au bar. Je laissais une place entre moi et Alec afin de ne pas l’étouffer avec ma présence. Je savais qu’il pensait beaucoup à l’Enclave et a leur justice. Alors que je recouvrais mes crêpes de sirop au chocolat, mon ami me demanda si j’avais déjà eu d’autres relations. Il y en avait eu trois ou quatre, mais jamais rien de sérieux. Ils m’avaient tous autant soulé que les filles que je ramenais à l’appartement.

- J’en ais eux trois ou quatre, mais toujours des coups d’un soir.

La curiosité d’Alec était tout à fait légitime. Il voulait savoir comment j’avais fait pour avoir une relation avec un autre homme sans que même lui ne le voit. Je ne m’exposais jamais au vue de gens que je ne connaissais pas et je me rendais dans des endroits peux fréquenter part les chasseurs d’ombres.

En fait, ils avaient finalement les deux peurs. C'était un cercle vicieux. Jace ne lui avait rien dit parce qu'il avait peur qu'Alec ne le rejette, tout comme le jeune McCoy, en plus des représailles de l'enclave bien entendu. Honnêtement, c'est plus de cela que le jeune homme avait peur, pas tellement pour lui, mais il refusait que Jace et sa famille souffrent de cela, alors n'avait rien dit. Alors, il eut un léger sourire aux coins des lèvres en l'entendant donner ses explications, en jouant légèrement avec son verre. C'était assez comique comme situation.

-Tu fais tellement de blague à ce sujet aussi, comment voulais tu que je te croie ? C'est un peu le serpent qui se mord la queue cette histoire.

Du bout de sa fourchette, il jouait avec la fine crêpe, tandis que Jace s'installer. Cette distance lui semblait plus difficile à supporter que cette conversation. Cela voulait-il dire que le blondinet pensait avoir fait une erreur ? Alec n'en savait rien, il n'y connaissait rien dans le domaine signes, il n'avait pas spécialement beaucoup d'expériences là-dessus. Finalement, il laissa sortir quelques questions qui lui trottaient dans la tête et il eut pour uniquement réponse que Jace avait eu des coups d'un soir. Il ne savait pas si cela le rassurait ou l'énervait. Il aurait pu avoir le blondinet depuis un moment s'il avait fait preuve du célèbre courage qui caractérisait les Shadowhunters, au lieu de se cacher dans son coin. Aujourd'hui, il savait que Jace partageait ses sentiments, du moins semblerait-il. Alors Alec serra les dents, et garda son regard fixé sur son assiette, comme pour se donner du courage.

- Je n'ai jamais vraiment eu de relation sérieuse. Sauf une, avant que je n'arrive à Londres. Plus rien depuis, sauf.. Joss, le gamin que tu as vu la dernière fois... Mais rien de sérieux non plus. Je.... Je n'ai vu personne, depuis que je t'ai rencontré.... Je n'ai jamais pu. L'enclave y est pour quelque chose, nécessairement mais.... Mais je ne pouvais pas, parce que.... Parce que, je n'arrivais pas à voir d'autres personnes.... Que toi. Cela fait huit ans, Jace. Que j'espère dans mon coin.... Tu n'as pas idée le nombre de fois où j'ai voulue t'étrangler.

Un léger rire vient secouer le Shadowhunter, cette situation était tellement ridicule. Il se sentait ridicule, à découvert, ce n'était pas nécessairement un sentiment qu'il adorait. Alors après son rire nerveux, il redevient d'un sérieux effrayant, pour tourner son regard perçant vers son homologue.

-Qu'est-ce qu'on fait maintenant ?

C’était plutôt étrange de savoir que la personne qu’on aime le plus dans se monde, t’aimais aussi depuis de nombreuses années. Nous avions l’air de deux adolescents qui ne savaient pas trop quoi faire. J’avais fait des blagues quand je draguais Alec et cela ne m’avais pas beaucoup aidé à paraitre sérieux avec lui. Je ne pouvais pas retourner en arrière, mais je comptais bien rattraper le temps perdu.

Je le regardais jouer avec sa nourriture alors que je m’installais au bar. J’avais mis un banc entre nous, je ne voulais pas qu’il croit que je voulais lui sauter dessus. C’était une certaine forme de respect, vu que je ne savais pas exactement ou tout cela allait nous mener encore. Alec m’avais posé des questions dont j’avais répondu avec calme. Je comprenais la réticence de mon ami sur le fait de ne pas m’avoir parlé de son homosexualité. Il n’y avait pas de règles à propos de sa, mais ce n’était pas spécialement bien vue. Surtout part les parents du beau brun. Je le vis serre les dents et regarder son assiette.

- Je n'ai jamais vraiment eu de relation sérieuse. Sauf une, avant que je n'arrive à Londres. Plus rien depuis, sauf.. Joss, le gamin que tu as vu la dernière fois... Mais rien de sérieux non plus. Je.... Je n'ai vu personne, depuis que je t'ai rencontré.... Je n'ai jamais pu. L'enclave y est pour quelque chose, nécessairement mais.... Mais je ne pouvais pas, parce que.... Parce que, je n'arrivais pas à voir d'autres personnes.... Que toi. Cela fait huit ans, Jace. Que j'espère dans mon coin.... Tu n'as pas idée le nombre de fois où j'ai voulue t'étrangler.

Je l’entendis rire nerveusement et je lui souriais un peu. Il se tourna ensuite vers moi avec un air sérieux, presque terrifiant. Je m’installais alors sur la siège entre nous en l’écoutant me demander se qu’on allait faire maintenant. Je haussais les épaules en posant ma main sur son épaule.

- Pour la suite des choses Alec c’est à toi de le découvrir. Je ne peu pas décider pour toi de ce que tu désir le plus.

Alec était le genre de fils modèle. Il écoutait ses parents depuis son plus jeune âge, suivait les règles à la lettre, la plupart du temps quand il ne se laissait pas entraîner par Jace bien entendu. Il suivait chaque règle, il avait tout donné à l'enclave afin d'être bien vu comme lui avait toujours appris ses parents. Un soldat fidèle et qui fait confiance aveugle. Bien que la loi soit dure, parfois complètement stupide, mais il n'avait jamais rien dit, c'était leur monde après tout. Et cela lui avait toujours semblé plus ou moins juste. Il avait même mis fin à sa relation avec Magnus pour cela, pourtant, aujourd'hui, il sentait presque une colère au fond de lui. Pourquoi devrait-il tout abandonner une nouvelle fois ? Après tout ce qu'il avait fait pour l'enclave, il avait bien le droit de profiter un peu.

Mais Jace ? Serait-il prêt à cela ? C'était un peu une question stupide, lui qui transgressait au moins une dizaine de règles par jour ! Alors, il lui posa quand même la question, tandis qu'il se rapprochait de lui. Pourtant, il restait là à le fixer, avant de finalement tout lâcher.

-J'emmerde les règles.

C'était sorti comme cela et en fait c'était un soulagement. Il n'attendit pas plus longtemps et se pencha sur le côté afin de couvrir les lèvres de Jace des siennes, apposant sa main sur sa nuque afin d'attirer le blondinet vers lui. Il n'avait pas spécialement prévu ce genre de chose, mais après tout à quoi bon réfléchir. Il avait silencieusement espéré pendant 8 ans, maintenant qu'il l'avait, il ne va certainement pas le laisser filer entre les doigts. Alors, il embrassa Jace, d'une passion contrôlée, une douce chaleur, agréable, se répandit dans son corps, son cœur sembla lui-même se réchauffer. Alec lui-même se sentait moins torturé, moins tendu... Moin strict. Ce n'était plus, l'espace d'un instant, le point de l'enclave, mais juste lui. Un garçon amoureux de son meilleur ami.

Je n’ai peux être pas toujours respecté les règles, mais certaine d’entre elles étaient importante. Je ne touchais jamais à un être surnaturel qui n’avait pas fait quelque chose de mal. En général, je me contentais de les ignorer. Je protégeais les terrestres au péril de ma vie. En échange je vivais ma vie comme je l’entendais en oubliant les autres règles qui devaient être appliqué. Sa avais toujours été ainsi depuis que je connaissais Alec. Pour sa part mon ami était heureux avec les règles. Je ne pouvais pas lui en vouloir pour cela. C’était se que sa famille lui avait toujours apprit.

J’étais donc surpris d’entendre Alec dire qu’il emmerdait les règles. Cela ne lui ressemblait pas vraiment. Pas du tout en faite. Je voyais tout de fois, qu’il semblait soulager de l’avoir dit haut et fort. Je ne pu que sourire en le voyant se pencher vers moi. Il couvrit mes lèvres des siennes et posa sa main sur ma nuque. Je m’approchais donc et lui rendais son baiser. En 8 ans je n’avais pas pu rêver de quelque chose de mieux. Son baiser était d’une passion contrôler. Mes mains agrippaient ses cheveux collant son visage encore plus contre le mien. A bout de souffle, je décollais mes lèvres des siennes. Un petit sourire illumina mon visage et je me tournais vers les crêpes qui étaient maintenant froide.

- J’ai plus trop faim de toute façon…

Certaines personnes ne comprenaient pas les sacrifices que cela était d'être un shadowhunter. Plus encore quand votre nom fut autrefois important et vous devez regagnier chaque jour un peu plus le respect qui vous étaient dû autrefois. Pour certains chasseurs, c'était assez facile, leurs vies ce résumaient à suivre les ordres et ne pas enfreindre les règles. Pour Alec, ce n'était pas si facile. Il fait parti de ceux qui donnaient les ordres, ceux à qui on tapait constamment sur les doigts si un pas était fait de travers, deux fois plus que les autres. Parce qu'il avait l'enclave sur le dos mais également ses parents. Il savait qu'ils l'aimaient, bien entendu, ils avaient confiance en lui, mais cela ne voulait pas dire que c'était plus facile pour autant.

Il avait sacrifié beaucoup de choses et on lui en demandait encore. Mais parfois Alec étouffait. Il avait simplement envie de tout arrêter. Mais cela voudrait dire faire partie des terrestre, abandonné sa famille, ses amis. Jace. Alors, il prenait sur lui et faisait ce que l'on attendait de lui, mais pas aujourd'hui. C'était un peu comme s'il rentrait dans une fase de rébellion. Ce n'était pas non plus une énorme rébellion, ce n'était même pas véritable une loi. Mais cela pourrait donner un coup dur à sa famille si cela venait à ce savoir, pourtant, pour une fois le chasseur avait envie de penser à lui. Est-ce que c'était si mal ? C'était son rôle de les protéger, mais pour autant, il n'arrive pas à culpabiliser. Pas maintenant, alors qu'il était en train d'embrasser Jace. Cela semblait toujours autant irréaliste, même s'il ne cessait de le répéter dans sa tête. Finalement, le blondinet s'éloigna du jeune homme et la réalité le frappa de plein fouet, mais il ne recula pas pour autant. Sa décision était prise.

Il eut un léger sourire aux coins des lèvres avant de jeter un cou d'œil à leurs assiettes à son tour, un léger rire se fit entendre alors qu'il fronçait légèrement les sourcils, amusé, pour se tourner par la suite vers son homologue.

-ça veut dire quoi ça ? Que je te coupe l'appétit ?

Mon choix avait été fait à la minute même où j’avais décidé de rejoindre Alec dans la salle d’arme la veille. A quoi bon s’arrêter a se que l’enclave pouvais penser, je ne pouvais pas obliger mon ami à tourner le dos à toute les règles. Je voulais simplement qu’il accepte qui il était vraiment. Qu’il arrête de penser comme qu’il devait absolument rendre tout le monde heureux au dépend de son propre bonheur.

Nous avions tout les deux tournées la tête vers notre assiette. Je n’avais plus vraiment faim. Je ne voulais pas gâcher se moment en disant que je n’avais plus faim. C’était simplement une habitude de dire tout se que je pensais. Alec me regarda avec les sourcils froncer et je ne pu que sourire a son commentaire. Je n’étais peux être pas le seul qui ne pouvais voir la subtilité dans les paroles des gens.

- Tu es loin de me couper l’appétit, Alec.

Dis-je tout simplement en déposant un baiser chaste et pur sur ses lèvres. Je pris mon assiette avant de jeter son contenu et tout mettre dans le lave vaisselle. Je rangeait le reste de la pâte a crêpe au frigo au cas ou on en voudrait d’autre plus tard.

Alec avait sorti cette blague pour rire, bien entendu qu'il savait qu'il ne coupait pas l'appétit de Jace, ou du moins il l'espérait fortement, parce que cela craint un peu sinon hein. Bref, finalement le blondinet s'était levé, le rassurant sur ce fait, tout en jetant sa crêpe à la poubelle avant de mettre le reste de la pâte à crêpes dans le frigo. Le jeune McCoy resta un moment sur sa place, à fixer son colocataire. Il essayait de se rappeler ce que c'était d'être en couple et en vérité il avait un peu peur d'avoir oublié. Il lui avait fallu du temps avant de relâcher la pression, de se faire entièrement confiance et confiance en Magnus, mais il avait réussi, alors pourquoi réfléchir maintenant ?

Il avait déjà fait les trois quarts du chemin, le reste se ferait naturellement. Il finit donc par ce lever à son tour, pour aller jeter sa crêpe dans la poubelle à son tour et déposer son assiette dans l'évier, pour s'approcher de nouveau de Jace, un léger sourire en coin.

-Je n'avais pas très faim non plus.

Une nouvelle fois, il se pencha vers l'avant, étant un peu plus grand que son homologue, afin de l'emprisonner de nouveau dans un baisser. Il posa ses deux mains sur sa taille, le rapprochant de lui jusqu'à ce qu'ils soient tous les deux collés. C'était encore étrange pour lui, il n'y avait jamais rien eu d'autre que des étreintes fraternelles entre eux avant.

Je faisais la vaisselle comme si de rien était. Après tout, il n’y avait rien de plus à faire. Alec me regardais et je sentais son regard dans mon dos. Je n’avais jamais connu la vie de couple, en fait. Toujours des coups d’un soir et je les chassais presque aussitôt que j’avais eu se que je voulais. Oui, j’étais un parfait connard envers ses filles. Ce n’était pas ma faute si ces dernières m’ennuyaient automatiquement.

Alec vint me rejoindre finalement au lavabo pour aussi jeter son petit déjeuner. Il s’approcha ensuite de moi et je me tournais vers lui part automatisme. Mon colocataire m’avoua qu’il n’avait pas non plus très faim. Je me mordis l’intérieur de la joue en voyant son léger sourire en coin. Avait-il seulement la moindre idée de ce que je ressentais en se moment ? J’imaginais qu’il ne devait pas s’en rendre compte. Alec m’embrassa à nouveau avant de poser ses mains sur mes hanches pour me rapprocher. C’était plutôt étrange de penser que maintenant nous formions plus ou moins un couple. Je posais mes mains sur ses avant bras et poursuivais le baiser avec douceur.

C'était assez étrange de voir Jace si passif, presque patient et doux, lui qui avait l'habitude de foncer tête la première dans la vraie vie, là il semblait en retrait. Peut-être simple parce qu'il ne savait pas encore très bien ce qu'il devait faire, mais cela plaisait plutôt au jeune McCoy qui s'enhardit. Alec entendit un soupir s'échapper de sa propre gorge et leurs bouches se rencontrèrent une nouvelle fois avec une sorte d'urgence contrôlée. Il y avait tellement longtemps qu'il n'avait pas embrassé quelqu'un comme cela : Une symphonie de lèvres, dents, langues, chaque mouvement réveillant une terminaison nerveuse qu'Alec ignorait posséder. Il glissa ses mains sous le t-shirt de Jace et fut surpris de voir à quel point sa peau semblait douce. Il y avait déjà eu des étreintes, il l'avait déjà vue torse nu, ou bien simplement en serviette, mais il n'avait jamais pu le toucher ainsi. C'était un peu comme redécouvrir quelqu'un.

À bout de souffle, Alec relâcha les lèvres de Jace pour aller trouver sa gorge. Sa bouche glissée doucement le long de cette peau si sensible, laissant ses lèvres tracer un sillon humide le long de sa veine et ses dents grignoter légèrement sa peau.

Je devais avouer que je m’étais rarement retrouvé dans cette situation. Dans les bras de quelqu’un que j’aime bien, je veux dire. De plus, je m’étais imaginer plein de chose dans ma vie, mais jamais je n’avais imaginé qu’Alec m’embrasserait ou qu’il me fasse du rentre dedans. D’ailleurs ce dernier poussa un soupire avant de poser à nouveau ses lèvres sur les miennes. Son baiser avait une sorte d’urgence contrôlé. Je savais qu’il n’y aurait besoin de grand-chose à faire pour que cette urgence ne soit plus sous contrôle. Il glissa sa main sous mon t-shirt et un frisson passa sur ma peau. Mes propres mains se posèrent sur son torse. C’était un peu étrange de sentir les muscles s’aillant sous le haut d’Alec. J’imagine qu’il y a un début à tout…

Alec décolla ses lèvres des miennes avant de les poser dans mon cou. Je poussais un soupire en penchant la tête sur le coter. Je lui laissais ainsi tout le passage pour poursuivre ses baisers. Je me collais davantage lorsque mon amant ce mit à mordiller la peau de mon cou. J’attrapais alors sa main avant de me diriger vers la chambre d’Alec. C’était la plus près de la cuisine. Puis, si Alec ne voulais pas être vue, la cuisine ce n’était pas le bon endroit pour faire se genre de chose.

Le soupire, de Jace réussit à enflammer à lui seul le corps tout entier d'Alec, tandis que son souffle venait s'écraser sur sa nuque, faisant frissonner le corps du jeune homme d'anticipation. Il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti de telle sensation. C'était comme être à nouveau en vie, ou respirer après avoir passé la moitié de sa vie en apnée.

Alors qu'il goûtait avec avidité la saveur de la peau de Jace sous ses lèvres, celui-ci décida de s'écarter pour entraîner à sa suite Alec en direction de sa chambre. Cela semblait surréaliste. Combien de fois avait-il rêvé d'une scène similaire ? Tellement qu'il avait arrêté de compter, se réveillant bien trop souvent en sueur à l'imagination de cette scène. Mais une impatience grandissante brûlait le jeune McCoy de l'intérieur. Il ne prit même pas la peine de fermer la porte derrière lui, que, déjà, il attirait de nouveau le corps du blondinet contre le sien.

Malgré son impatience, il tentait tant bien que mal de contrôler la situation, de prendre son temps, d'en profiter. Alors que ses mains glissées de nouveau sous le t-shirt de Jace, ses doigts glisser telle une caresse sur ses abdos, avant de se décider à retirait son t-shirt pour le laisser tomber dans un coin, fixant son amant d'un regard aussi brillant que ses lèvres.

J’avais sentie le corps d’Alec frémit d’anticipation lorsque j’avais poussé mon soupire. Il semblait, tout autant que moi, vouloir que nous allions plus loin. Avoir beaucoup plus qu’une simple amitié entre nous. Je savais que cela pouvais nous poser des problèmes, mais tant que personne n’était au courant tout irait bien pour nous deux. De toute façon, je ne voulais pas y penser maintenant.

Il m’embrassait toujours dans le cou, quand je décidais de l’emmener à sa chambre. C’était plus part soucis de discrétion que pour le confort. Je me serais servit du sofa si je n’avais pas eu peur que Alec crois qu’on nous voit. Je m’étais toujours imaginer me glissant dans la chambre d’Alec et de tout simplement l’embrasser pour le réveiller. Je passe les détails de la suite, mais voila… A peine nous étions dans la chambre qu’il m’attira de nouveau à lui. Un large sourire apparu sur mes lèvres.

C’était mon tour de déposer des baisers dans son cou. J’embrassais son cou à l’endroit exact de sa rune. Depuis le temps que j’avais voulut accomplir se geste… Ses mains se glissèrent à nouveau sous mon t-shirt pour glisser sur mes abdos. Je le laissais me l’enlever avant de moi-même lui enlever son t-shirt. Je poursuivais mes baisers dans son cou tout en le dirigeant vers le lit.

Plus le temps passer, plus Alec ce laissait aller, il ne servait plus à rien de réfléchir. Et puis, il avait sacrifié déjà beaucoup de chose pour plaire aux autres, suivre les ordres, aujourd'hui ce n'était plus le cas. Et puis en quoi cela était il quelque chose de mal ? Alors il mit son cerveau en pause et ce laissa juste guidé par le moment. L'espace d'un instant il perdu pied quand les lèvres de Jace vinrent ce poser sur son cop, à l'endroit de sa rune de blocage. Un frisson puissant lui avoir parcourut la colonne vertébrale alors qu'un nouveau soupire lui avait échappé. Entre temps, il en avait profité pour lui retirer son t-shirt et le laisser dans un coin, très vite rejoins par le sien. Il se laissa guider par le blondinet, les yeux fermé sous ses baisers qui enflammer son corps.

Il senti quelque chose taper contre ses jambes et se laissa donc tomber sur ce qu'il deviner être son lit, entrainant Jace avec lui dans sa chute. Glissant ses mains dans ses cheveux blonds, il lui releva la tête afin d'emprisonner de nouveau ses lèvres. C'était presque devenu une urgence, il avait besoin de sentir ses lèvres contre les siennes, leurs langues et leurs dents se chamailler pour savoir qui aurait le dessus. En même temps, il agrippa sa taille pour inverser les rôles, allongeant Jace sur le lit à l'aide de son propre corps, avant de quitter sa bouche pour tracer un chemin de baisers, de sa mâchoire, en passant par son cou, sa gorge et s'échouant sur les détails de son torse.

Lui qui avait toujours eu plus ou moins peur d'être aussi maladroite que la première fois qu'il avait prit les rennes avec Magnus, cela ce faisait si naturellement, il n'avait même pas besoin d'y pensait. Alors que du bout des doigts il effleurait les côtes puis les hanches du chasseurs, ils finirent par descendre jusqu'à la ceinture qu'il retira rapidement, sans jamais décoller ses lèvres de l'abdomen de Jace.

Je n’étais plus qu’une simple boule d’émotions sous les attentions d’Alec. Mon sang bouillonnait à chacun de ses soupirs. Je ne m’étais pas sentie comme cela depuis bien longtemps. Certaine fille, avant de m’ennuyer à mourir, me faisait cet effet. Jamais très longtemps part contre. Je l’avais entrainé jusqu’au lit et nous tombâmes ensemble. Il passa ses mains dans mes cheveux pour relever ma tête vers lui. J’avais déjà le souffle court, mais je ne voulais pas que tout cela s’arrête. Ses lèvres contre les miennes se firent plus urgente, enflammer. Nos deux bouches se disputaient la première place. A croire que c’était un concours du plus fort.

Mon monde s’inversa tout a coup. Alec avait agrippé mes hanches pour rouler au dessus de moi. L’avantage que j’avais était rompu, mais je lui laissais volontiers. Il embrassa ma mâchoire, mon cou, ma gorge pour arriver à mon torse. Je pris une grande inspiration en même temps que mon cœur s’accélérait. Le bout de ses doigts effleurait mes côtes puis mes hanches. Un soupire m’échappa en même temps que ma ceinture apparemment. C’était à croire qu’il avait fait sa toute sa vie. Jamais ses lèvres n’avaient quitté ma peau. C’était un vrai délice si vous voulez mon avis.

- Alec…

J’avais chuchoté, allez savoir pourquoi, en produisant un son a mi chemin entre le soupire et le gémissement. Je savais ou il allait et je ne savais pas si je me sentais près de le voir m’enlever mon pantalon. Au loin j’entendais le téléphone portable d’Alec. À moins que sa n’ai été mon imagination ?

Il avait oublié la chaleur que cela lui provoquait. Presque comme si d'un seul coup, il s'était retrouvé plongé au milieu d'un brasier ardent. Mais c'était tellement puissant, tellement agréable dans le fond. Tellement intense qu'il pourrait presque en trembler de la tête aux pieds. c'était tellement enivrant, une sensation d'encore, toujours plus loin, le prenait jusqu'aux tripes, rythmé par la respiration bruyante de son homologue. Alors que la ceinture de Jace volait, il ne sait trop où, il entendit le blondinet soupirer son prénom. Cela ressemblait presque à un envoûtement à ses oreilles tellement cela le secouait de plaisir. Alors d'une main, il fit sauter le bouton du jean et descendre la braguette tandis que de son autre main, il s'appuyait sur le matelas, juste à côté du corps du jeune Wood. Du bout des lèvres il frôle les formes de ses muscles en remontant jusqu'à son visage, les yeux empreint d'une envie de luxure.

-Jace ?

À son tour il avait murmuré son prénom dans un souffle chargé d'émotions et de promesses. Il le fixait presque comme un affamé, mais c'était un peu le cas. Certes, il y avait eu Joss, il n'y a pas longtemps, mais cela n'avait strictement rien à voir. Il entendit vaguement un téléphone sonner dans la pièce plus loin. La cuisine, son portable ? Rien à faire, ils laisseront un message. Était-ce cela qui avait perturbé son amant ? Alec avait simplement secoué la tête pour ensuite allait mordiller l'oreille du jeune Wood.

-On s'en fiche, on s'en occupera plus tard.

J’avais soupiré le prénom d’Alec et cela semblait l’avoir tout autant enflammé que se qu’il me faisait. Je remarquais à peine qu’Alec faisait sauter mon bouton de pantalon. Ni même ma braguette. Sa peau me semblait brulante avec tout se sang bouillant dans les veines. Il remonta en semant des baisers sur mon corps. Plein de nouveau brasier était à l’œuvre. C’était une vraie torture, mais ce n’était pas totalement désagréable. Le regard de mon amant était rempli de luxure. Se qui me fit frémit de la tête aux pieds.

Comment un simple prénom soupirer pouvait être remplie d’autant de promesse ? Apparemment c’était possible lorsque cela venais de la bouche d’Alec. D’ailleurs il me fixait comme s’il était totalement affamé. Je me mordillais alors la lèvre en lui retournant son regard. Le téléphone de mon amant sonnait au loin. Ce dernier secoua la tête avant de me mordiller l’oreille. Je poussais un soupire et il me dit qu’il s’en occuperait plus tard.

Je basculais à nouveau pour me retrouver sur Alec et l’embrassais avec ardeur. Mon pouls s’accélérait encore pendant que je descends à son cou en passant part son oreille. Oreille que j’ai mordillé et embrasser à loisir. J’atteignis enfin son torse que j’explorais de mes lèvres. Chaque recoin n’avais manqué au petit explorateur que j’étais a ce moment précis.

Sa réponse semblait avoir calmé les inquiétudes de son amant puisque celui-ci ne s'en formalisa pas plus et retourna rapidement la situation. Alec se retrouvait donc en dessous, à répondre avec ardeur et une passion brûlante à son baiser. Il n'y avait plus tellement grande chose de contrôlé. La passion et l'urgence avaient pris place, mais ce n'était pas plus mal. Ils auraient tout le temps qu'il faut plus tard pour prendre le temps de se découvrir l'un l'autre. Par réflexe, le jeune McCoy ferma les yeux quand la bouche du blondinet allait en voyage le long de son oreille jusqu'à son cou, tandis qu'il tournait vaguement la tête afin de lui laisser libre accès.

Plus il descendait, plus le jeune chasseur pouvait sentir son coeur taper contre sa poitrine, on ne l'avait plus exploré comme cela depuis des années. Il en avait presque oublié à quel point il en était sensible. Alors qu'il descendait sur son torse, le jeune homme enfonça légèrement sa tête dans l'oreiller, laissant s'échapper un soupire d'entre ses lèvres. Impatient et du bout des bras, il fit descendre le jeans de Jace sur ses jambes et tenta de lui enlever avec bien du mal, ce qui déclencha un léger rire chez le jeune homme. Il finit par s'en débarrasser et le laissa tomber dans un coin, avant de glisser ses mains dans son boxer, agrippant ses fesses pour coller son bassin contre le sien, lui faisant étouffer un gémissement. IL y avait bien longtemps qu'il ne s'était pas senti aussi serré dans son propre boxer.

Les soupire et les gémissements qui s’échappais d’Alec ressemblait une symphonie créer part les dieux. Le fait que je lui embrasse l’oreille semblait lui avoir plu, mais visiblement mon amant ne s’attendais pas a se que j’explore son corps ainsi. En fait, son urgence était tellement grande qu’il préférait remettre a plus tard mon exploration. C’est se que je comprenais, en tous cas, lorsqu’il m’enleva mon pantalon avec ses pieds. Je me retrouvais sur Alec en boxeur et avec ses mains sur mes fesses. Je souris contre sa peau avant de détacher son bouton et la braguette. D’un coup, j’enlevais pantalon et boxeur à Alec.

Le chasseur avait des besoins à assouvir et j’étais celui qui l’aiderait. J’enlevais alors mon propre boxeur avant de coller nos bassins à nouveau. Je capturais ses lèvres des miennes avant de rouler sous lui. Je posais mes mains sur ses fesses pour imprimer à nos deux bassins des mouvements. Un gémissement m’échappait alors que nos deux corps se frottaient l’un contre l’autre. Je poursuivit notre baiser avec tout autant d’ardeur.

Alec avait presque l'impression qu'il allait faire un infarctus, c'était tellement intense, presque trop pour lui. Son cœur semblait sur le point de sortir de sa poitrine pour aller courir jusqu'à New York. Si tout était parfaitement contrôlé au début, tout s'enchaînait très vite à présent et ce n'était pas plus mal parce qu'Alec avait presque l'impression que ses nerfs allaient lâcher. Après s'être débattu avec le jean de Jace durant un moment, il réussit à l'enlever très vite suivit de son propre pantalon accompagné de son boxer. Il n'eut pas le temps de faire un geste de plus que le blondinet enlevait également le sien.

C'était une chose de sentir l'envie de Jace à travers du tissu s'en était une autre que leurs deux érections se touchaient à même la peau, lui faisait étouffer un juron. Il dévora pratiquement sa bouche quand il colla de nouveau ses lèvres aux siennes dans un concert bruyant de soupirs et de gémissements. Alors que le blondinet inversait la tendance, le jeune McCoy se retrouva donc en position de force, surplombant son amant de toute sa hauteur. Ses yeux n'étaient plus que désir et passion tandis qu'il s'arrachait à son emprise pour pouvoir fixer le visage de Jace, les traits tirés par le plaisir. Alors qu'il s'appuyait à la force de ses bras, il commença des mouvements de bassin contre celui de son homologue, aidé par les mains de celui-ci sur ses fesses. Ils n'étaient même pas encore passés aux choses sérieuses que déjà Alec tremblait de la tête aux pieds, répondant aux gémissements de Jace par les siens comme une douce musique.

Aidé par sa rune de vitesse, le jeune chasseur souleva rapidement le bassin du blondinet, fixant celui-ci droit de les yeux. Cette pièce était devenue presque insupportable par la chaleur qu'il y faisait, pourtant à l'instant présent Alec n'en avait cure. Le plus doucement qu'il put, il s'engouffra en Jace, la mâchoire serrée. Ses parois étaient tellement étroites que cela aurait presque suffi au jeune Shadowhunter pour l'emporter au bord de son plaisir ! Une nouvelle fois il étouffa un juron et posa son front contre l'épaule de Jace pour se ressaisir et effleura la gorge du blondinet d'un baiser. Il ne bougea plus de un centimètre une fois entièrement enfoui en lui, en attendant que son amant soit prêt à ce qu'ils se mettent en mouvement.

Alec s’était débattu avec mon pantalon, pour me l’enlever. Je n’avais pas faire ni une ni deux que le sien avait rejoins l’autre au sol. Mon boxeur avait été envoyé dans un coin de la pièce, mais je ne savais pas le quel. Alors que je retournais au niveau du visage d’Alec je l’entendis jurer. Apparemment sentir nos deux membres se toucher le faisait bien réagir. Il dévora ma bouche dans un concert de soupire et de gémissement dans les deux camps. Si on m’avait dit il y a 8 ans que j’enflammerais ce beau et grand brun, je ne l’aurais jamais cru.

Je le remis sur moi avec un petit sourire en coin. C’était une chose que je voulais vivre cela au moins une fois. J’étais peux être un leader naturel dans la vie de toute les jours, mais face a se garçon qui me regardais avec autant de désir, je ne pouvais rien contre sa. Mon amant s’appuya sur la force de ses bras pour commencer des mouvements de bassin. Je l’aidais en appuyant en rythme sur ses fesses. Je ne voulais pas imaginer se que sa allait donner lorsque nous passerions aux choses sérieuse. Alec en tremblait déjà de la tête aux pieds. Nos deux gémissements se mêlaient comme une seule voix. S’en était enivrant tellement que j’aimais se sons.

Avec leur vitesse surnaturelle, Alec avait soulevé mon bassin. Mon propre corps se mit à trembler en sachant très bien se qui allait suivre. Nos regards s’accrochèrent un à l’autre. La chaleur de nos deux corps réunit était presque insupportable, mais ce n’étais pas une chose importante pour l’instant. Puis doucement, il entra en moi. Je voyais ses mâchoires se serrer et je ne pu que soupirer. Ce n’était pas le moment le plus agréable, mais sa ne durait jamais vraiment longtemps. Il étouffa un juron en posant son front contre mon épaule. Ses lèvres sur ma gorge me firent me mordiller la lèvre. Il s’arrêta de bouger attendant que je sois près pour commencer. Je remontais son visage vers le mien et l’embrassais avec une tendresse toute nouvelle. L’urgence était toujours la, mais je voulais le remercier de ce petit geste.