[HOT] Je voulais te dire … feat Peter

La nuit était tombée depuis un petit moment lorsque Sandrine se décida d’aller enfin se coucher. Les autres pensionnaires s’étaient retrouvés dans le salon de détente mais pas la jeune fille. Elle n’avait jamais vraiment su aller vers les gens. Les plus jeunes, c’était facile mais ceux de son « âge » ou presque, elle avait du mal. En même temps, il y avait dû avoir ce Peter mais elle avait préféré continué sur son nouveau projet de roman. Chassez le naturel il revient au galop comme on dit !
Une fois dans son lit, il ne lui fallut pas longtemps pour tomber dans les bras de Morphée mais dès qu’elle fut endormie, elle fit tout de suite un bien étrange cauchemar. Elle n’arrêtait d’ailleurs pas de bouger dans son sommeil. Elle voyait justement Peter, vêtu comme durant l’époque de l’antiquité, inconscient sur un lit tandis qu’une jeune femme à la chevelure de feu ouvrit grand la mâchoire, laissant apparaître ses canines pour les planter ensuite dans le cou, côté droit, du jeune homme. La jolie brune se réveilla en sursaut en criant le nom du vampire dont la chambre se trouvait juste en face de la sienne. Ce n’était pas la première fois qu’elle faisait ce cauchemar en fait. Elle le faisait depuis la guerre. Il lui fallut plusieurs minutes pour se rendre compte qu’elle n’était plus seule dans sa chambre. A côté d’elle se trouvait justement le garçon qui hantait ses rêves et son voisin d’en face. Elle rata un battement de son cœur quand elle le vit et elle sentit ses joues rougir. Mince, il avait dû l’entendre crier son nom. Cela la gênait un peu.

- Ah euh salut !

Elle ne savait pas quoi faire mais une chose était sure, c’était le fait qu’elle avait une envie irrésistible de lui sauter dessus et l’embrasser complétement. Cela faisait des années qu’elle en rêvait et des jours qu’elle en crevait d’envie mais avec son père dans les parages, elle n’osait pas. Mais finalement, elle s’approcha de lui et l’embrassa avec douceur. Cela faisait des décennies qu’elle rêvait de lui, même à l’époque de la seconde guerre mondiale et durant son mariage. Elle ne savait pas comment il allait réagir mais il lui fallait faire ça !

Lorsqu’elle s’était réveillée en sursaut, Sandrine avait seulement remarqué la présence de Peter mais elle n’avait pas fait attention aux deux épées qu’il tenait avant de venir s’asseoir à côté d’elle sur le lit. Elle avait eu beau lutté contre cette envie irrésistible de l’embrasser, elle n’avait pas pu résister. Elle l’avait donc embrassé, le cœur battant vite, très vite même. Cependant, elle ne s’était pas attendue à ce que le vampire réponde à son baiser en le lui rendant, passant un bras autour d’elle pour la rapprochant contre lui. La jeune fille pensait plutôt à se prendre un râteau, le premier râteau de toute sa vie mais ce n’était pas le cas. Quand il rompit le baiser, elle avait toujours les joues rouges et le visage en feu en plus d’avoir le cœur qui battait la chamade. C’était tout de même le premier garçon qu’elle embrassait depuis la mort d’Henry. Les deux hommes de sa vie si on prenait pas en compte son père et son grand-père. Et son fils aussi ! Elle remarqua tout de même que le beau brun gardait son bras autour d’elle alors que lui-même était …calme. L’expérience on va dire !

Peter : - Alors je ne sais pas trop ce qui viens de se passer mais pour ma part c'étais très agréable
- Ah ben ravie que … Que ça t’ait plu ! C’était pas prévu mais j’en pouvais plus de résister !

Encore une fois, elle rougit. Ça avait été la même chose quand elle avait embrassé son défunt mari la première fois. Elle était toute gênée et timide. Elle remarqua enfin les deux épées.

- Euh c’est pour quoi les deux épées ?

La jeune fille demanda ce qu’il faisait avec deux épées dans les mains et le vampire lui expliqua alors qu’il était professeur d’escrime et qu’il était entrain de réfléchir comment il allait débuter son cours lorsqu’il avait entendu son cri. Sandrine trouva ça mignon qu’il se soit inquiété pour elle.

- C’est pas grave ! Heureusement alors pour moi que l’on soit voisins de palier !

Peter déposa donc ses armes par terre avant de se rasseoir à côté de l’adolescente. Le vampire semblait avoir l’esprit ailleurs pendant un moment. Il revint enfin à lui quelques minutes plus tard. Il s’était avancé vers elle pour déposer un baiser très doux sur sa joue, ce qui la fit encore plus rougir. Décidément, elle ne faisait que ça avec lui, rougir !

Peter : -tu as fait un cauchemar? tu veux en parler? je suis là, je resterais jusqu'à ce que tu t'en dormes paisiblement

Comme il était chou ! Même si c’était un vampire ayant certainement eu à une époque une vie faite de morts et de carnages, elle le trouvait trop mignon à s’inquiéter pour elle. Elle n’avait pas trop l’habitude qu’une personne dont elle ne connaissait en principe rien du tout se fasse du souci pour elle. Mais elle ne savait pas si elle devait lui dire la vérité, quoique … elle risquait d’avoir encore envie de l’embrasser. C’est vrai que les lèvres du vampire étaient plutôt agréables à embrasser.

- Ben, en fait … Tu vas me prendre pour une folle si je te le dis !

Elle baissa la tête mais elle continua.

- Je rêvais en fait de ta transformation en vampire ! Et c’est pas la première fois que ça m’arrive en fait ! ça fait euh … depuis que j’ai treize ans … donc 73 ans en fait ! Y a des fois, c’était ta créatrice qui t’hypnotisait en te rendant inconscient pour planter tranquillement ses crocs dans ton cou, comme ici justement. Ou alors, quand tu te battais dans des batailles à l’épée ! T’avais l’air trop fort en faisant tournoyer tes épées avant de transpercer tes ennemis avec !

Elle ne pourrait plus s’arrêter ! La voilà qui était partie à lui raconter tous les rêves qu’elle avait fait de lui, et sans oublier certains détails comme ses batailles gagnées. Elle avait même fini par relever la tête. On pouvait presque voir des étoiles dans ses yeux.

- Mais j’avoue que je me suis un peu servie de ces rêves pour écrire mes livres !

Au fond d’elle, elle savait qu’elle n’aurait pas dû le lui dire mais elle l’avait fait et ne pouvait plus revenir en arrière. Il allait surement la prendre pour une folle mais apparemment, ce ne fut pas le cas car il se leva et prit les deux épées.

Peter : - Tu dis que tu écris sur moi et que tu m'as vu dans mes batailles, tu as déjà vu ça avant?

Elle n’eut pas le temps de répondre qu’il se mit à faire un peu d’escrime, un peu comme les trois mousquetaires (le grand-père de Sandrine adorait ce livre) pour ensuite faire ce qui semblait être de l’art martial. La demoiselle devait avouer que c’était bluffant et super bien fait. Il avait l’air d’être vraiment un expert dans cette discipline qu’était le maniement d’épée. Et dire que lorsqu’elle était enfant, elle s’amusait à jouer les mousquetaires avec des épées en bois. Quand le vampire eut fini, il redéposa ses armes blanches par terre.

Peter : -Alors? tu avais déjà vu ça? satisfaite?

Elle avait la bouche et les yeux grands ouverts tellement qu’elle avait été impressionnée par sa performance. Elle se contenta juste de faire un « non » et ensuite un "oui" de la tête avant de retrouver ses esprits.

Peter : - Tu dis que tu écris un livre, raconte-moi, j'aime lire.
- Ben en fait, je me suis un peu inspirée de ton histoire que je voyais à travers mes rêves, que je notais au passage dans un cahier mais je l’ai pas ici, je le retrouve plus chez moi ! Faudrait que je demande à Merrie de le retrouver. L’histoire, c’est un vampire assez âgé qui vient s’installer dans un petit quartier de Londres. Là, il découvre que sa nouvelle voisine ressemble comme deux goûtes d’eau à une fille qui hante ses rêves depuis l’époque même où il était encore humain. J’avais trouvé que Blood of tears sonnait bien comme titre et mon éditeur était d’accord avec moi !

He Peter, ça ne te dis rien de familier le titre de son bouquin ? En attendant, elle avait de nouveau très envie de goûter aux lèvres du beau vampire et elle ne s’en priva pas encore une fois. Sauf qu’ici, ce n’était pas un doux baiser mais plutôt un baiser passionné. Elle se colla pratiquement contre lui, le cœur battant vite. Elle rompit peu après le baiser.

- Désolée mais … ça fait tellement longtemps que … Que je rêve de toi. J’ai l’impression que je t’ai connu toute ma vie !

Moi je dis un peu normal vu qu’il lui a inspiré le héros de ses romans.

Le cerveau n'est plus en marche, je répète le cerveau n'est plus en marche, problème au niveau des réflexes et de la parole. En effet, nous parlions tranquillement quand elle m'embrassa de façon passionnée, un baiser que tous les hommes rêves d'avoir, combien de fois elle va me faire le coup!? Sérieusement quoi! j'ai l'impression d'être un enfant qui attend que les grandes personnes prennent des initiatives... Je me fais surprendre à chaque fois, pas que ce ne soit pas agréable, bien au contraire, mais je me demande quelle tête j'ai quand elle me prend par surprise comme ça par exemple. Son cœur battait à toute allure, instinctivement je baissais le regard, joli corps, bon, maintenant je suis officiellement un pervers, si les gens de l'école connaissaient vraiment mon âge ils nous regarderaient différemment je pense.

Quoi qu'il en soit, elle était là, collé a moi, après se baiser passionné, je sentais son corps chaud contre le mien, cela faisait longtemps que ce n'était pas arrivé, je l'embrassais en la faisant basculer sur le lit pour que nous soyons couchés tous les deux, j'en profitais pour passer ma main sur son flanc et caresser délicatement le corps de la jeune femme.

-Outre le fait que je sois fan de ta saga je dois te dire que tu ne me laisse pas beaucoup indifférent, et je dois aussi dire que cette phrase est vraiment pathétique..

Ce n'était pas première fois ou je me retrouvais dans le lit d'une jeune femme, mais elle c'était spécial, je n'avais pas envie de passer juste une nuit, je voulais plus, après tant d'années à attendre je voulais enfin avoir ce don je rêvais tout ce temps, elle avait elle-même rajeunit, c'est bien le signe qu'on devait se rencontrer!
Je me relevais et pris les couettes du lit pour les rabattre sur nous avant de me repositionner initialement, j'en profitais pour lui voler un baiser en souriant.

-Je ne crains pas le froid, mais toi si, il faut faire attention à ta santé.

Elle était là, collée à lui après l’avoir à nouveau embrassé et avec une certaine passion dois-je dire. Elle ne fit pas attention au regard qu’il laissa balader sur elle et à vrai dire, si elle l’avait remarqué, elle s’en ficherait, elle aurait fait pareil. Il fallait avouer que ça faisait tout de même un peu bizarre à Sandrine de se retrouver le corps collé à celui d’un homme. Tout à coup, le vampire l’embrassa en la faisant basculer sur le lit et tous les deux se retrouvèrent couchés dessus. La demoiselle eut quelques petits frissons quand elle sentit ses caresses mais elle fit de même.

Peter : -Outre le fait que je sois fan de ta saga je dois te dire que tu ne me laisse pas beaucoup indifférent, et je dois aussi dire que cette phrase est vraiment pathétique..
- Sérieux ?

Ah ben si ça, elle s’y attendait ! Sa « muse » fan des bouquins inspirés de lui ! Ça, il fallait le faire ! Par contre, elle était ravie de savoir qu’il n’était pas indifférent à son charme. Ça aurait été un peu con qu’elle rêve de lui et que ça ne soit pas réciproque ! Peter alla prendre les couettes pour les enveloppant tous les deux tout en reprenant sa position initiale. Il lui vola même un baiser avant de lui sourire.

Peter : -Je ne crains pas le froid, mais toi si, il faut faire attention à ta santé.
- T’es trop mignon comme ça !

Elle le regarda pendant un petit moment droit dans les yeux. Seule la lumière extérieure éclairait la chambre mais elle pouvait un peu voir son magnifique regard de braise. Elle lui caressa le visage avec douceur avant de se rapprocher de lui mais elle ne l’embrassa pas bien qu’elle avait une idée derrière la tête. Il ne fallait pas oublier que c’était un vampire et les vampires pouvaient être imprévisibles aussi. Même quand ils avaient la fille de leur rêve dans les bras ! Mais c’était plus fort qu’elle, il fallait qu’elle goûte à ses lèvres. Sucrées, froides certes mais douces également.

Mignon c'est nouveau, on m'avait souvent donné des noms et qualifié de choses et d'autres mais jamais de mignon, ce n'étais peut-être l'effet "Sandrine" qui agissais sur moi, j'étais bien, reposé de tous souvenirs, je pensais seulement à elle, a nous, à ce qui pourrait se passer. Je l'embrassais à nouveau tout en passant ma main sur sa hanche, bien sûr que j'avais envie de plus, tout mon corps réclamait plus, mais en la voyant je me suis dit que j'allais peut-être trop brutal, c'est une humaine après tout, le dilemme était grand, je dois dire quand d'autres circonstances j'aurais sautées sur la jeune femme et fait mon affaire depuis un bout de temps, mais j'avais peur, peur de gâcher un si bon moment. Cela faisait une éternité que je l'attendais, je voulais pas risquer de la perdre car j'ai été brutal ou trop avenant pour elle.

Pourtant mon corps ne pensait pas pareil, lui voulait d'elle et n'aurait refusé sous aucun prétexte. Je me collais à elle et rapprochais son bassin du mien, à ce stade-là le cerveau était en panique, je pense même qu'il a dû surchauffer et s'éteindre à un moment. je l'embrassais tout doucement, je ne pouvais pas dire si c'était dû à la proximité ou simplement à elle, mais sa peau dégageait un arôme enivrant, le doux baisé se transforma en embrassade passionnée, je soulevais le bas de son t-shirt pour poser ma main sur sa peau, elle était douce, elle était chaude, elle était agréable.
Je rompis le baiser juste après:

-si ça va trop vite dis-le-moi, je ne veux pas te forcer a quoi que ce soit tu sais.

C'est bien sûr la phrase type de tous les mecs, et en général ils attendent tous une réponse négative du genre "non c'est bon", mais pour peter c'était autre chose, il avait attendu déjà longtemps avant de la voir, avant d'être ici avec elle, alors attendre un ou deux mois de plus ce n'était rien.

Une chose était sûre, ces deux-là ne pouvaient pas résister à l’autre. En même temps, c’est compréhensif, ils ont tellement rêvé de l’un l’autre que le fait de pouvoir être enfin ensemble, eh ben, c’était comme être attirant par un aimant. Peter se rapprocha quant à lui un peu plus de Sandrine, rapprochant leurs bassins l’un contre l’autre, ce qui devait les exciter encore plus bien que le vampire embrassait sa compagne plus doucement avant que le baiser ne devienne à nouveau plus passionné mais cette fois-ci venant du jeune homme. Il souleva d’ailleurs le t-shirt de Sandrine qui frissonna quelques secondes. Il avait tout de même la peau froide mais elle oublia vite cette froideur car à vrai dire, l’adolescente commença à avoir bien chaud.

Peter : -si ça va trop vite dis-le-moi, je ne veux pas te forcer a quoi que ce soit tu sais.
- Oui oui !

Ça ne devait pas être la réponse qu’il devait s’attendre mais le cerveau de la demoiselle ne voulait pas réfléchir à quoi ce soit et il avait laissé place à l’instinct de la jolie brune qui venait de glisser une jambe contre celle de Peter tout en l’embrassant. Puis, elle passa à son tour une main sous le t-shirt du vampire et lui caressa le dos. Je ne sais pas comment elle a fait mais elle finit par se retrouver au-dessus du jeune homme. Je peux vous dire que la jeune fille qu’elle était là aujourd’hui était bien différente de celle qu’elle faut à la fin des années 40. Ici, elle voulait le vampire, le désirait à un point qu’elle avait décidé de ne pas attendre que ce soit lui qui prenne les devants. Avec son défunt mari, elle ne prenait jamais des initiatives lors des câlins sous la couette. Ils étaient tous les deux un peu … pudiques on va dire. Là, on pouvait pas dire que Sandrine était pudique, elle n’hésita pas à passer des lèvres de Peter à son cou qu’elle embrassa sensuellement.

Peter se retrouvait sous sa belle, elle avait le dessus et commençait à l'embrasser dans le cou, il frissonna au contact de ses lèvres sur sa peau, il tourna la tète pour laisser le champ libre à Sandrine et posa une de ses mains sur son cou alors que l'autre se baladait sur le corps de la jeune femme, il avait chaud, pour un vampire ce n'est pas commun d'avoir chaud, autant dire que peter était un eut décontenancé de voir son corps réagir ainsi... Belle et en plus elle prend des initiatives, il la trouvait parfaite, cependant il la fit basculer sur le côté pour finalement se retrouver dessus, bien que l'humaine sache très bien s'y prendre avec ses lèvres, son instinct primaire était d'être le dominant et non le dominé. Il se leva et enleva son t-shirt, laissant apparaitre son torse:

- J'avais un peu chaud, je sais pas pourquoi bizarrement

Dit-il en souriant et embrassant Sandrine, de ses lèvres il passa sur ses joues, puis l'heu de son cou, pour finalement arriver au creux de son cou, il commença a l'embrasser doucement, puis il se mit a la mordiller, sans ses canines bien sûr, il voulait jouer avec elle, faire de cette soirée une soirée inoubliable, et cela passait par l'excitation. Il passa une de ses mains sous son haut et caressa son bas-ventre avant de remonter doucement vers sa poitrine:

-Tu n'as pas chaud toi aussi?

Les inquiétudes de peter sur le fait de lui faire mal s'étaient envolés, le désir d'unifier les deux corps était plus fort que ses questions, en plus elle semblait particulièrement réceptive au vampire, autant que lui a elle a vrai dire....

Sandrine avait pris des initiatives qui semblaient plaire au vampire. Lui aussi frissonnait, surtout au contact des lèvres de la demoiselle sur sa peau douce et froide. Il tourna même la tête sur le côté, ce qui permit à la jeune fille d’embrasser une plus grande surface dans le cou de son euh on peut déjà dire petit-ami. De plus, elle commençait à avoir chaud, très chaud. Elle pouvait sentir l’une des mains de Peter se balader sur tout son corps. Tout à coup, il la fit balancer pour se retrouver à son tour au-dessus d’elle. Il retira même son t-shirt. L’humaine pouvait dès lors admirer le beau torse légèrement musclé du vampire. Il était quand même sexy mine de rien.

Peter : - J'avais un peu chaud, je sais pas pourquoi bizarrement

Cela eut pour effet de la faire rire tandis qu’il lui sourit en l’embrassant une nouvelle fois. Il dévia ensuite ses lèvres de celle de l’adolescente pour les diriger vers le cou de celle-ci. Elle se mit d’ailleurs à pousser quelques petits soupirs de plaisir mais quand il lui mordilla le cou, sans la mordre réellement (il n’avait pas rétracté ses canines), elle eut un hoquet de surprise avant de se laisser complétement aller. Elle gémit de plus en plus, pas trop fort car ce n’était pas son habitude de gémir de plaisir assez fort, surtout qu’il baladait ses mains sur tout le corps de la jolie brune, l’excitant un peu plus chaque seconde. Elle soupira sous ses caresses sur son bas-ventre pour ensuite sentir une main de Peter sur sa poitrine. Euh, là ça commençait vraiment à devenir chaud. Elle eut encore un petit rire quand le jeune homme lui demanda si elle n’avait pas non plus chaud. Sans dire un mot, elle enleva d’elle-même son haut et se retrouva sans rien au-dessus. Elle se colla un peu plus contre Peter, caressant le dos de celui-ci avant de descendre ses mains vers les belles fesses de ce dernier.

Entre les légers gémissements de Sandrine et le fait qu'elle venait d'enlever son haut, Peter commencé à vraiment avoir envie de la jeune femme, elle se rapprocha de lui, leurs deux corps étaient l'un contre l'autre, il sentait sa peau contre la sienne, il aimait cette sensation, il aurait voulu que cet instant dure une éternité. Elle passa son man dans son dos, passant sur ses cicatrices, une douce caresse sur les anciennes plaies, sa main alla chercher les fesses de Peter, alors c'est ce type de femme? Intéressant, il se mit alors sur le côté et enleva son pantalon pour se retrouver en boxer, au point ils en étaient ils avaient plus à être pudique.
Il la regardait avec amour, il regardait son visage si gai, son corps si parfait, ses cheveux de soie, ses yeux magnifiques, il continuait de caresser le corps de la jeune femme quand il prit la parole:

- Tu es magnifique, j'ai vécu pas mal de temps, j'ai connu beaucoup d'époque, et pourtant... tu restes celle pour qui je brule le plus de désir, je t'ai attendu longtemps, plus que ce que l'on peut supporter, mais maintenant que tu es là, je peux te dire que je ne regrette rien, tu es parfaite.

Puis il commença à embrasser son bas-ventre, pleins de petits bisous, il remontait tout doucement, son estomac, ses cotes, sa poitrine, son cou, et ses lèvres, arrivé à ses lèvres Peter saisit la nuque de la jeune femme et l'embrassa, un baiser prolongé comme il n'en avait jamais donné, il venait de comprendre qu'elle était là, la femme de sa vie vampirique se tenait à coté de lui et était prête à se donner à lui sans aucune condition, il en était presque gêné tellement la situation était magique.

Les choses commençaient à aller un peu plus vite entre eux. En tout cas, c’était certain qu’aucun d’entre eux n’oubliera cette nuit de sitôt. Elle était à leurs yeux magiques, absolument magiques. Ils s’étaient attendus et malgré le fait que chacun avait continué sa petite vie de son côté, cela se voyait qu’ils étaient faits pour être ensemble même si Peter était un vampire et Sandrine une humaine bien qu’elle ait rajeuni. Le jeune homme pouvait peut-être pensé qu’elle était le genre de femme à avoir les mains baladeuses mais en fait, son caractère avait évolué avec les décennies et ici, elle se comportait plus ou moins comme une adolescente du vingt-unième siècle. Et puis, elle n’avait jamais essayé de caresser les fesses d’un homme. Voilà l’occasion pour essayer. Si lui était différent avec elle, il en allait de même pour elle avec lui. Elle avait beaucoup envie de lui. Il se mit sur le côté pour enlever son pantalon et se retrouva donc en boxer. Elle fit de même avec son propre pantalon. Il la caressa avant de prendre la parole.

Peter : - Tu es magnifique, j'ai vécu pas mal de temps, j'ai connu beaucoup d'époque, et pourtant... tu restes celle pour qui je brule le plus de désir, je t'ai attendu longtemps, plus que ce que l'on peut supporter, mais maintenant que tu es là, je peux te dire que je ne regrette rien, tu es parfaite.
- Je ne suis pas parfaite ! Je me suis toujours trouvée moche et j’ai des pieds moches ! Je te jure ! Mais ça me plait que je sois la seule pour qui tu brûles de désir ! Même si j’ai pas été la première !

Non, elle n’a pas été la première mais lui, il va être son « premier » depuis qu’elle a rajeuni. Elle le regarda embrasser son ventre, puis son estomac pour remonter vers sa poitrine et enfin ses lèvres où là, il lui prit la nuque pour l’embrasser avec tout l’amour et toute la passion, ainsi que le désir, qu’il ressentait pour elle. Pourquoi elle n’avait pas pu le connaitre plus tôt ? Je pense que c’était sans doute trop tôt. Alors qu’elle n’était sans doute encore qu’une petite fille, lui se trouvait déjà aux Etats-Unis alors qu’elle était en Europe.

D’un simple petit geste qu’elle tenta, elle lui enleva progressivement son boxer, le faisant se retrouver sans aucune couche de vêtements sur lui. Et il se retrouva également à nouveau sur le dos et elle au-dessus de lui, l’embrassant à son tour avec tout l’amour et le désir qu’elle avait pour lui. Et se collant aussi un peu plus contre lui.

La jeune femme posa sa main sur mon caleçon et l'enleva progressivement, la sentir contre moi augmentait encore plus mon désir pour elle, en plus là il ne pouvait plus y avoir de doute vu que j'étais nu, on pouvais donc tout voir. Elle me décala sur le dos et monta à cali fourchon sur moi, la jeune femme était seulement habillée d'une culotte qui n'allait pas résister longtemps, elle se pencha vers peter et à son tour se lança dans un baiser profond, remplis de désir et d'amour, il avait une main dans son dos et l'autre qui allait progressivement sur ses fesses.

Quand il rompit le baiser il place ses deux mains sur les hanches de Sandrine, l'avançant et la reculant comme s'ils étaient en plein acte, il faisait juste monter la température d'un cran, son côté joueur ressortait enfin, il passa son doigt entre le tissu qui restait sur elle et la peau, allant de gauche à droite, caressant son entre jambes:

-Je trouve que tu as encore trop de tissus comparais a moi, je vais y remédier ce serait plus simple.

À peine ma phrase fini il la bascula sous lui, il se retrouvait donc nu sur elle, il commença à descendre et embrassant son corps, arrivé à son bas-ventre il prit chaque côté avec ses doigts et fit glisser doucement tout en continuant d'embrasser son entre jambes.
Quand cela fut fini il se remit sur le côté et la porta pour la mettre sur lui, elle voulait être au-dessus apparemment alors il la laissa faire, il était sur de ne pas être déçu

Peter s’était retrouvé tout nu avec un peu l’aide de Sandrine qui avait encore pris une initiative. Il ne restait plus qu’une toute petite couche sur elle mais qui n’allait pas rester longtemps. Elle se retrouva ensuite au-dessus de lui et l’embrassa. Elle pouvait sentir une main du vampire glisser vers ses fesses tandis que l’autre restait sur son dos. Il rompit le baiser pour poser ses mains sur les hanches de la jeune fille et la faire bouger comme s’ils étaient entrain de faire l’amour. Cela eut pour effet d’exciter encore plus la petite brune qui se mordit légèrement la lèvre inférieure. Elle commençait vraiment à en avoir envie là. Son niveau de désir fut encore plus augmenté lorsqu’il passa un doigt entre la culotte et la peau de l’adolescente. Elle gémit encore plus de plaisir et une partie lui disait d’enlever cette fichue culotte.

Peter : -Je trouve que tu as encore trop de tissus comparais a moi, je vais y remédier ce serait plus simple.
- Je suis … hum … d’accord avec toi !

Sur ce, il la fit basculer pour qu’elle se retrouve sous lui et il lui enleva sa culotte, non sans l’avoir exciter encore plus. Les soupirs de l’humaine devenaient à présent un peu plus fort. Le dernier bout de tissu enlevé, ils étaient maintenant tous les deux entièrement nus. Mais Peter la fit à nouveau basculer sur lui. Il pénétra en elle et bien que ça lui faisait un peu mal au début – tout de même moins mal que lors de sa toute première fois – elle commença à bouger légèrement avant d’accélérer progressivement dans ses mouvements de hanches. De temps en temps, elle embrassait le vampire pour ensuite se coller complétement contre lui sans cesser ses mouvements.

Peter était nu sous Sandrine, quand il la mit sur lui il la pénétra doucement, ne voulant pas lui faire trop mal, quand il vint en elle il prit une grande inspiration, les choses sérieuses allaient commencer, et tout de suite même, elle se mit à bouger les hanches en accélérant, il se sentait en elle, il voyait son corps bouger d'avant en arrière, sa poitrine ferme qui bougeait au rythme des va et vient de la jeune femme, un petit soupir de plaisance s'échappa de la bouche de peter. Elle se baissa et se colla à lui avant de l'embrasser tout en continuant de faire des vagues avec ses hanches, il aimait ça, il souleva son bassin et bougeât lui aussi en même temps qu'elle, il caressa tendrement sa joue:

-Si tu as mal, ralentit.

Il continua de balancer ses reins pendant deux ou trois minutes avant de se mettre à casser le rythme imposé en saccadant ses hanches, il attrapa son cou et la tira à lui pour lui livrer un baiser empli de désir, un baiser qu'il rompit d'un coup, ensuite Peter donna coup de bassin assez fort pour voir la réaction de sa belle, il ne voulait pas y faire mal, mais il ne pouvait plus tenir, la tentation de donner de francs coups de bassin devenait presque incessante.
Son souffle était court, entre coupés par les mouvements de la jeune femme, l'excitation était grande, il se sentait bouger en elle, c'était bon, c'étais bien parti pour être la meilleure relation de sa vie vampirique. Il voulait lui donner tellement, sans pour autant attendre en retour.

Ils étaient nus et les choses sérieuses venaient de commencer. Tous les deux se sentaient mais surtout excités comme des malades je dirais. Je crois qu’ils ne vont pas oublier ce sitôt. Croyez-moi ! Chaque va et vient de la jeune fille faisait pousser un soupir de plaisir chez Peter qui finit par l’accompagner dans ses mouvements. Alors qu’elle s’était collée contre lui, il lui caressa la joue avec tendresse, lui disant de ralentir si elle avait mal mais la douleur des débuts était déjà partie depuis un bon moment.
La suite, cela devint un peu plus chaud, voir même extrêmement chaud. Non seulement, il cassa le rythme mais en plus, il lui prit le cou pour l’attirer vers lui pour l’embrasser avec ardeur et désir avant de rompre le baiser et de donner ensuite de forts coups de bassins. La réaction de l’adolescente ne se fit pas attendre. Le souffle court, ses gémissements se faisaient de plus en plus forts et là, le début augmenta fameusement. Tellement fort qu’elle hurla presque de plaisir et que la voisine d’à côté tapa contre le mur. Sandrine se mordit légèrement pour se retenir de hurler à nouveau mais elle poussa ses soupirs différemment. La chaleur lui montait à présent à la tête et tout son corps ressentait le bien-être que cet acte lui procurait. Pu**in que c’était bon ! Elle devait même reconnaître que c’était meilleur avec Peter qu’avec son défunt mari !

Les deux tourtereaux étaient sur le point d’arriver au septième ciel. Ils étaient à bout de souffle tous les deux mais pour Sandrine, c’était merveilleux. Magique même ! Elle n’avait jamais eu pareil moment quand son mari était encore en vie. Mon pauvre Henry, qu’est-ce que tu veux ? Tu ne fais pas le poids face à un mec de plus de 2000 ans et qui a l’expérience aussi vieille que lui ! Et dire que Peter s’imaginait que l’humaine serait peut-être sa future femme. Ah, qui sait ? Il a peut-être raison ! S’il a rêvé d’elle pendant des siècles et qu’elle aussi, ce n’était pas un simple pur hasard !

A peine eut-il joui qu’il embrassa sa belle, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle mais elle lui répondit à son baiser, passant ses bras autour de son cou. Quand il fut retiré, il était parti en vitesse vers sa chambre, qui se trouvait juste en face. Heureusement d’ailleurs qu’il n’avait pas loin à aller. Surtout qu’il était à poil il me semble. Quand il revint dans la chambre de Sandrine, il avait ramené du chocolat, le péché mignon de Sandrine justement. Il le lui tendit une barre chocolatée après s’être glissé à ses côtés dans le lit. Elle avait remis la couverture sur eux. Au moins jusqu’au-dessus de sa poitrine.

Peter : -Tu en veux ? sans mauvais jeu de mots tu t'es donné a fond, c'était super cela dit!
- Oui, je veux bien ! C’est vrai que j’ai … euh comment dire … jamais connu ça avant, pas même avec le père de mes enfants !
Peter : -Je sais que c'est aller vite, mais avant toutes choses je voulais te dire que j'en avais très envie et que c'était simplement magnifique, en plus TU est magnifique, puis ça m'a échappé tout à l'heure... je t'ai dit je t'aime...

La jeune fille sourit en rougissant un peu. Elle l’avait entendu mais son esprit était bien trop concentré sur ce qu’ils faisaient pour dire quoi ce soit. Elle se pencha vers lui pour lui donner un doux lorsqu’il la prit dans ses bras, juste pour la garder contre lui.

- Pour moi aussi c’était magnifique ! Je dirai même plus c’était magique !

Elle commença à manger son chocolat lorsqu’il lui murmura ceci :

Peter : - Je rêve de toi depuis toujours moi aussi, laisse-moi t'accompagner durant ta vie, je veux être a tes côtés pour te soutenir et t'aimer.
- Mais pour moi, c’est comme si t’avais toujours été là sauf que c’était que dans mes rêves !

Elle se blottit un peu plus contre lui. Elle voudrait tellement apprendre à mieux le connaître, en vrai et pas que dans un rêve.

- Parle-moi un peu de toi, enfin de ce que tu veux ! Je veux tout savoir ! Ce que t’aimes bien, ce que t’aimes pas, ce qui te fais rire fin tous des trucs dans le genre !